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BILBAO. CORRIDAS GENERALES. JEUDI 22 AOÛT.

Publié le par Cositas de toros

                                                         Petit González

 

     Soleil. 3/4 d’arène : 10400 selon El Correo.

     Toros de Garcigrande, 1 et 2 bis et Domingo Hernández.

 

 

  Belle entrée, les Poncistes au rendez-vous, leur idole en blanc y azabache pour son 70e paseo à Vista Alegre !

 

El Juli et Luis David Adame remplaçant le Sévillan Pablo Aguado.

Un lot de toros de présentation moyenne pour les lieux, un peu de caste édulcorée, la bravoure dans les sabots, excepté le 5, et tous d’une noblesse affligeante de soseria.

 

                                                     Enrique Ponce,

en dessous de son rang,

 

                                                        El Juli,

marqué par l’expérience et,

 

                                                  Luis David

qui tire le bon lot avec l’enthousiasme de la jeunesse.

Barquerito titrait dans El Correo du lendemain : «  Luis David ya no es una mera sorprisa. »

Et non, ce n’est pas une simple surprise !

Le jeune aztèque fut volontaire, varié autant à la cape qu’à la muleta, faisant la nique à ses augustes aînés.

Je vous ferai grâce du détail des faenas, en fait, sans grand intérêt.

Ponce tua lamentablement, El Juli nous infligea ses « julipies » traseras, seul Luis David réussit par deux fois un recibir dont un d’anthologie au 6, couchant d’une lame fulgurante "Pinturero", le soso de D. Hernández . Les tendidos sous cinquante nuances de blanc, une seule et unique oreille ! Aucune logique chez Matias González qui écouta, blasé et indifférent une bronca de catégorie.

Ponce maniéré, des pauses (longues), des postures, cabotin ; le Juli sans classe mais technique et volontaire au 5 ; enfin Luis David volé, une et une oreille, ne sortit pas a hombros.

Ponce rejoignit ses riches quartiers, El Juli s’en vint avec un pavillon… de banlieue.

Au firmament avec ses deux étoiles pleurant la troisième, le petit mexicain qui fit, malgré le vol, de l’ombre à ses aînés, figuras d’hier.

Enrique : avis, ovation avec salut et salut ponctués de deux avis.

Jules : silence et oreille.

Luis David : oreille avec pétition de la seconde et une oreille avec grosse pétition suivie d’une double vuelta.

Les banderilleros Miguel Martín et Luis Cebadera saluèrent au 6.

En 1962, Danyel Gérard chantait « Le petit Gonzalès ». « … Reviens donc ici petit Gonzalès, c’est maman qui te dit ça… ça f’ra du bruit à la maison... »

Et bien, Matias González, ne reviens pas. Basta ! Ça a fait du bruit dans Vista Alegre !

                                                     

 

 Gilbert LAMARQUE

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