Contre-attaque
Il y a une suite à Parentis (voir Cositas des 04 et 19/02).
L’ADA de Parentis-en-Born a publié sur son compte Facebook :
« L’ADA Feria a décidé de saisir le Tribunal Administratif de Pau. Compte tenu des circonstances et de la manière dont s’est comportée la Municipalité de Parentis en Born à l’égard de l’ensemble des membres de l’ADA Feria et de tous les bénévoles qui ont œuvré durant plus de 15 ans à l’organisation des novilladas, notre Association a décidé de saisir le Tribunal Administratif de Pau pour trancher le litige qui l’oppose à la ville de Parentis en Born suite à la décision de la commune de rompre la convention de mise à disposition des Arènes pour l’organisation des bolsins, novilladas et corridas.
Bien entendu, nous ne manquerons pas d’informer nos amis aficionados des suites données à ce dossier. »
Suit une autre publication, une plaisante diatribe qui établit « que notre éviction était soigneusement préparée depuis déjà pas mal de temps. » Où il est question de la « versatilité politique des élus » et de « la soi-disant "démocratie participative" » et autres manœuvres.
La convention liant l’ADA à la municipalité courait jusqu’en 2025.
Le feuilleton n’est donc pas terminé, l’ADA est passée à l’offensive.
Betizu, encore.
Les incendies du samedi 20 février sur le massif de la Rhune attisés par de fortes rafales de vent de sud ont eu pour conséquence de ravager 2 000 hectares en Labourd et Navarre. Les rafales ont été tellement fortes – 100 km/h à Socoa – que certains animaux n’ont pas eu le temps de trouver refuge ailleurs. De nombreux pottock et betizu ont été brûlés vifs.
Les betizu encore frappés par la main de l’homme. Après la découverte des cadavres dépecés en janvier sur le massif du Mondarrain, les derniers brûlés sont les victimes de feux volontaires. « On ne peut pas parler d’écobuage non maîtrisé, c’est un acte criminel. »
Gilbert Lamarque