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DAX. TOROS y SALSA -1

Publié le par Cositas de toros

Encerona* d’Emilio de Justo

DAX. TOROS y SALSA -1

     

    Emilio de Justo s’est donc enfermé dans les arènes dacquoises, seul, face à six Victorinos. Geste fort s’il en est.

Que peut on demander de plus à un homme, à un torero, sinon de donner tout ce qu’il a ? Emilio l’a fait, tout au long de cette tarde, soutenu par sa cuadrilla et le public, il a finit totalement vidé au point que lors de sa sortie a hombros, il affichait un masque de souffrance.

Même s’il n’a pas toujours trouvé le sitio, il n’a jamais baissé les bras, s’adaptant aux comportements de ses adversaires, baissant la main avec le noble troisième, se retroussant les manches pour partir à la guerre contre l’alimaña sortie en quatrième et le difficile dernier.

Deux heures trente de spectacle entretenu, les pensionnaires de "Las Tiessas de Santa maria" imposant du combat.

 

En effet, le lot de toros était autant homogène en trapío (entre 500 et 525 kg, moyenne 514.666 kg), qu’hétérogène en comportement allant du très noble, à l’assassin de service. Des différences auxquelles s’est parfaitement adapté le Maestro.,

Un gros bémol tout de même, la grande discrétion dont ont fait preuve les toros au cours du premier tiers. La cavalerie n’a pas été à la peine…

 

Les affaires ne se sont pourtant pas très bien engagées.

 

                        "Garbancito" n°83, 525 kg, né en Décembre 2014,

Son premier adversaire est difficile à fixer au capote, sort du premier tiers affaibli. Emilio lui donnera une faena méritoire et parviendra même à lier une série à gauche. Le bicho se met à réfléchir, il s’avise et commence à lorgner sur les zapatillas. Echec aux aciers, avis et palmitas.

 

                            "Plazajero" n°69, 511 kg, né en avril 2015,

Sort avec force, répète et se retourne vite. Arrivé faible à la muleta Emilio lui sert une série sur les deux rives, puis le bicho pèse de plus en plus sur le maestro. Faena valeureuse conclue par une entière traserita y caídita au deuxième envoi. Faible pétition et…oreille contestée qu’il donne à son peon.

                         "Hechicero" n°28, 518 gk né en décembre 2014,

Faible dès les premiers coups de capote, prend une grosse puya (trop) et un picotazo. A la muleta, il arrive un peu distrait, mais avec de l’abnégation, Emilio finit par l’intéresser au drapelet. Suivent de belles séries des deux côtés sur un toro qui va a mas. Très bonne faena terminée par des naturelles, de face, main droite. Le pavillon promis (voire les deux) lui échappe avec un nouvel échec à la rapière. Deux avis, silence.

                        "Jaquetillo" n°102, 520 kg, né en décembre 2014,

Aux armures impressionnantes se défend d’entrée, ne permet rien au capote, coupe sa charge aux banderilles. Le trasteo se fera en mode guerrier, où personne ne veut céder du terrain, "Jaquetillo" réfléchit et distribue des coups de cornes. Avec de la persévérance, Emilio lui sert quelques séries méritoires et conclue la bataille avec une demie en place au deuxième essai. Salut.

                          "Mojarillo" n°94, 500 kg, né en décembre 2014,

Sort en "rematant", ses longues charges permettent au maestro de lui poser une série de véroniques. Suite à un passage des plus discrets à la cavalerie, Morenito pose deux superbes paires. Après un bon début avec la muleta, liant main basse des deux côtés, le toro charge le museau au ras du sable puis, raccourcit ses charges et cherche les chevilles. Une entière très engagée, efficace sur l’animal qui lutte et meurt au centre, fera sortir les mouchoirs pour une oreille largement méritée.

                            "Bohique" n°49, 514 kg, né en janvier 2015,

Est reçu avec les encouragements du public lui permettant de poser quelques figures à la cape. Après le salut de Chacón et Miguelito pour avoir bien cloué, il s’engage dans le combat proposé par "Bohique", toro âpre, exigeant, adepte du demi-tour rapide. Le maestro met tout son cœur dans le combat, et cède du terrain à son redoutable adversaire. Il s’engage pour une grande ration efficace. La pétition monte, le palco sort les deux mouchoirs libérateurs, le deuxième en récompense de l’ensemble de « l’œuvre ».

 

Triomphe donc d’Emilio de Justo, obtenu dans la douleur, mais qui aurait pu être plus grand, si les dieux de la rapière ne l’avaient pas lâché.

 

Arènes de Dax, 17h30, beau temps mais vent frais soufflant sur les gradins remplis au ¾.

 

Solo Emilio de Justo : avis et palmas – oreille – 2 avis et silence – silence – oreille – 2 oreilles.

Cavalerie Bonijol.

Président : Bernard Sicet.

 

*Encerona, traduction littérale : enfermé.

Patrick SOUX 

 

 

DAX. TOROS y SALSA -1
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BAYONNE. FERIA DE L’ATLANTIQUE - 3

Publié le par Cositas de toros

BAYONNE. FERIA DE L’ATLANTIQUE - 3

   1er septembre matinée. Une découverte, Tomás Rufo.

 

        Tout juste un quart d’arène, désolant car ce même élevage de Los Maños avait offert la veille, un bon toro "lidié" par Adrien Salenc, et l’année passée, une belle novillada. Si ce ne fut pas un grand lot, ce fut un bon lot mais pauvrement armés, les novillos sortant des chiqueros avec certaines pointes abîmées. Manquant parfois de force, peu spectaculaire sous le peto, ils se montrèrent nobles mais sans l’étincelle qui rajoute de l’intérêt au spectacle, donnant du jeu toutefois, le 4 et le 6 sortirent du lot. L’élevage aragonais foulait le sable de Lachepaillet pour la quatrième année consécutive, confiance donc des organisateurs bayonnais. Un dimanche placé sous le signe Santa Coloma avec un encierro de toros de La Quinta pour conclure cette feria de l’Atlantique. Tomás Rufo, récent triomphateur des novilladas de Madrid, remplaçait le Valencien Borja Collado si prometteur ayant mis fin à sa courte carrière.

 

Et c’est lui,

 

                                                      Tomás Rufo

(oreille et vuelta) qui montra le plus d’intérêt par son autorité sans fioritures. Il fut sobre sur le 2 reçu joliment par véroniques et la faena des deux mains s’effectua agréablement avec un bicho franc. Il tua d’une entière caídita, une légère pétition de vuelta du novillo s’évapora vers le ciel gris.

Au 5, après une belle mise en suerte pour deux piques passables, il "brinda" à Román tout en haut des tendidos. Rapidement accroché, il n’eut guère le temps d’étaler ses qualités à la muleta. Il revint de l’infirmerie après de longues minutes, sans chaquetilla, souffrant visiblement de l’épaule droite, le teint pâle. Après quelques séries méritoires… de derechazos, il fut mis en échec aux aciers.

 

Élégant mais trop distant,

 

                                                           El Rafi

(avis, ovation et oreille) resta en deçà. Le 1 fut intéressant lors des banderilles. Par la suite, le mufle rasant le sable, il fut mal exploité. Il y eut de bons muletazos mais souvent précipités, la muleta quelques fois tutoyée. Il ne s’engagea pas à l’épée et livra toutes une série de pinchazos, le bicho mourant bouche cousue.

Le 4 est un beau spécimen vêtu d’une magnifique robe mais d’armures très discrètes qui montra beaucoup d’alegria lors des deux piques. L’animal est noble, juste de force et le Nîmois en demande trop et à trop vouloir briller, le tout se termina chichement.

 

                                            Manuel Diosleguarde

(oreille et oreille) réalisa de belles véroniques après la course effrénée du 3 qui n’avait rien à envier à Usain Bolt. Notre sprinter fut accueilli par quelques protestations pour l’état de ses cornes. Un peu faible, il eut un bon comportement aux banderilles mais après l’acupuncture au cheval, Manuel joua les infirmiers tout en restant lointain. Oreille !

Avec l’ultime possédant du moteur, le natif de Dios le Guarde (Salamanque) façonna des séries des deux mains, mais ces passes sans dominio sur un novillo partant aux planches, se terminèrent par un desplante ! Une nouvelle oreille et il invita le mayoral à saluer lors de la vuelta.

Le vainqueur de la matinée fut sans conteste Tomás Rufo qui marqua le public par sa maturité, la richesse de ses gestes et démontrant un grand courage après sa blessure. 

 

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    1er septembre tarde. Quatre nuances de gris.

BAYONNE. FERIA DE L’ATLANTIQUE - 3

Gris, le ciel. Gris, le moral. Grises, les robes. Gris, l’ennui.

17h30. Nuageux, le vent intermittent. En deçà d’1/3 d’arène.

 

6 toros de La Quinta, du cárdeno au cárdeno oscuro, en passant par le cárdeno coletero : gris, vous dis-je ! Présentés inégalement, et le moteur bridé.

 

                                                  Octavio Chacón

débute avec un « vieux beau », "Botella"… et il en a, puisque né en octobre 2013 (5 ans et 10 mois) et il le démontre dans son absence de charge. Le torero de Prado del Rey lui met sous les naseaux une muleta à mi-hauteur dont il se fiche royalement. Entière contraire dans un recibir / encuentro. Salut.

Le 4 reçoit deux piques bien administrées par Juan Esquivel ; les banderilleros Juan José Trujillo et Alberto Carrero saluent. Octavio est très long avec ce bicho noble mais qui s’étiole, chargeant au pas. Le torero loge une épée entière, plate. Salut.

 

                                                          Román

hérite de "Jaqueton", sans charge, l’ennui nous gagne, la tarde se plombe.

"Bailaor", le 5 ne danse pas longtemps, à la cape et puis c’est tout. Il met le piquero en mauvaise posture, désarçonné et s’éteint à la muleta. Dieu que c’est long !

 

                                                 Joaquín Galdós

se débat avec "Rabanito", manso con casta qui sort seul des trois rencontres chevalines. Ce diable de toro ne baissa jamais la tête, Galdós actif provoque la musique, suivent quelques séries des deux mains, doblones et redondos. Échec aux aciers. Salut.

"Galguero" possède un peu de caste volée on ne sait où. Il est violent sous le peto. Brindis à Román. La faena est relevée (un peu), le toro transmet, derechazos, pecho, puis la main gauche. Le Péruvien s’engage pour un estoconazo mais il subit une voltereta puis est repris au sol, la corne dans la cuisse droite (trois trajectoires). La sincérité ne paie pas. Ángel Gomez Escorial se dirige quelques instants plus tard vers l’infirmerie, l’oreille en main.

 

Chacón excellent chef de lidia, discret, précieux.

 

Décevante corrida, ces toros ne nous ferons pas oublier les "petits frères" du 15 août à Roquefort.

 

                                                                       Gilbert LAMARQUE

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BAYONNE. FERIA DE L’ATLANTIQUE - 2

Publié le par Cositas de toros

BAYONNE. FERIA DE L’ATLANTIQUE - 2

       31 août matinale. Finale des NSP

    Qualifié le 14 août, Tristan Espigue retrouvait en finale, Alvaro de Chinchón sorti des qualifications de la veille. Pour « arbitrer ce match », quatre erales du Lartet, deux faibles (1 et 3), deux meilleurs (2 et 5).

                                              Alvaro de Chinchón.

Mal servi au sorteo, il ne peut répéter sa prestation de la veille. Ses deux opposants sortent faibles, et il doit composer. Malgré une bonne sortie en "rematant" fort, son premier arrive sans force à la muleta. Après un  brindis à A. Salenc, il lui est impossible de lier une série, l’eral tombe par deux fois, puis devient violent et se défend dans la muleta. Une épée en place pour conclure, salut. Son second devait être un dévot, en ce jour de la saint Aristide, il passe son temps agenouillé. Alvaro arrive malgré tout à lui lier une série et une circulaire inversée avec changement de main qui nous permet de voir le potentiel de ce garçon. Il fait traîner sa faena en longueur, et a des difficultés à cadrer. Entière en arrière au deuxième essai, palmas.

 

                                                  Tristan Espigue.

Chanceux au tirage, est confronté à son premier qui fait une sortie mansote. Après une bousculade sur la pose des bâtonnets, Tristan lui sert une faena intelligente lui laissant du temps et de l’espace. L’eral vient de loin, il en profite pour lier des séries sur les deux côtés, se croisant, l’animal « demande les papiers ». Une vilaine épée vient assombrir le tableau. Vuelta. Son deuxième adversaire lui permet un capoteo agréable. Il laisse les banderilles au "peonage" pour un salut d’El Santo. Il entame son trasteo par des statuaires centrales. Leral galope et répète, Tristan en profite, et pose une faena à dominante droitière. Trois manoletinas précèdent une épée delantera et caída pas suffisante. Sa volonté de bien faire lui fait reprendre l’épée, sur la seconde, en place, il est pris violemment, prend le chemin de l’infirmerie, laissant Alvaro tuer son adversaire. Sa cuadrilla promènera l’oreille méritée.

 

Arènes de Lachepaillet, 11h, nuageux se découvrant de temps en temps, ¼ d’arène.

Finale des NSP.

4 erales du Lartet pour :

Alvaro de Chinchón : vuelta et palmas.

Tristan Espigue : vuelta et oreille.

Les prix :

Vainqueur des NSP : Tristan Espigue.

Meilleure estocade : Alvaro de Chinchón.

Prix de l’ACOSO  partagé entre les deux novilleros.

 

 

BAYONNE. FERIA DE L’ATLANTIQUE - 2
BAYONNE. FERIA DE L’ATLANTIQUE - 2
BAYONNE. FERIA DE L’ATLANTIQUE - 2
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        30 août tarde. Concours or not concours ?

 

 

     Tel est la question que l’aficionado se posait. Le fait est, cette course n’a été "lidiée" ni dans l’esprit ni dans les règles d’une concours, les lidias du premier tiers étant toutes menées à l’envers.

 

Sur le sable, six toros de différentes ganaderias : Murube, Valdefresno, El Retamar, José Cruz, Los Maños et Pedrés, face aux six toreros que sont : Domingo López-Chaves, Sergio Flores, Miguel Ángel Pacheco, Juan Ortega, Adrien Salenc et Dorian Canton.

 

Cette corrida, intéressante par la diversité des "encastes" et la personnalité des toreros, a été émaillée d’un incident relevant de la différence de vue entre la présidence et le public à propos de la prestation de Sergio Flores.

 

                                            Domingo López-Chaves

 

                         "Ojeador", Murube de 603 Kg né en mars 2014.

Sort mansito et montre très vite des signes de faiblesse, après un premier tiers anodin. D’entrée, il se défend dans la muleta du maestro avec des demi-charges, les pitones s’arrêtant à hauteur de sa gorge. Son métier et sa technique lui permettent de rentrer intact au burladero, après une mise à mort laborieuse et un avis. Salut au centre.

 

                                                     Sergio Flores

 

                "Manzano", Valdefresno de 509 Kg né en décembre 2014.

Son frontal au-delà du respectable (90 cm de pointe à pointe, environ) imposera le respect à toute la cuadrilla. Difficile à fixer, Sergio lui impose trois chicuelinas serrées au centre de la piste. Après un premier tiers moyen et un bon second (salut du banderillero), Sergio entame le troisième, par des cambiadas au centre de la piste. Suivent des séries liées où l’engagement du torero n’est pas maximum (à sa décharge… l’amplitude du trophée). "Manzano" commence à lorgner sur les barrières, Sergio n’arrive pas à lui garder la tête dans le torchon, et le quadrupède finit aux planches. Il en termine avec un estoconazo d’école, tant par son engagement que par son emplacement et son effet. Grosse pétition. La présidence n’accorde, justement, qu’un seul trophée, en dépit des deux demandés par la majorité du public. Bronca majuscule à la présidence qui commence son chemin de croix, et double vuelta pour le torero.

 

                                             Miguel Ángel Pacheco

 

                    "Operario", El Retamar de 496 Kg né en juin 2016.

Il nous gratifie d’une bonne sortie, permettant un capoteo agréable. Faible, "Operario" sera sans intérêt au premier tiers, ni au second, ni beaucoup plus au troisième. Entière caída, silence.

 

                                                   Juan Ortega.

 

                     "Travieso", José Cruz de 532 Kg né en octobre 2013.

L’abuelo de l’envoi, difficile à fixer, prend une bonne première ration, suivie d’un picotazo puis, freine aux banderilles. La marche du cornu permet à la muleta de Juan d’accompagner très lentement « la charge » de l’animal. Certains auront sûrement vu du temple, j’y ai vu des attitudes pueblerinas. Entière caída, salut aux tiers.

 

                                                     Adrien Salenc.

                        "Pirujo", Los Maños de 498 Kg né en mars 2015.

Sort des chiqueros avec beaucoup de mobilité, traverse le premier tiers sans grande gloire. Il arrive au drapelet en démontrant une noblesse piquante. Adrien prend vite la mesure de son adversaire pour lui servir une faena pleine d’allégresse et de fraîcheur, conclue d’une entière caídita foudroyante. La pétition monte des gradins, le palco sort les deux mouchoirs, renforçant le mécontentement du public. Trouvait-il les deux oreilles imméritées ? En tout état de cause, Adrien, dans un geste de solidarité, offre sa deuxième oreille en piste à Sergio Flores et entame une vuelta fêtée, suivie d’une nouvelle bronca à la présidence.

 

                                                     Dorian Canton.

                       "Dormido", Pedrés de 605 Kg né en janvier 2014.

Bien présenté, il rentre dans le capote de Dorian en version tête chercheuse. Après deux piques anodines et un bon tercio de banderilles, les derotes initiaux se transforment vite en hachazos peu sympathiques. Dorian aura le mérite de poser une faena méritoire à un animal compliqué et dangereux, malheureusement mal conclue par une défaillance aux aciers.

 

A la fin de la corrida, Adrien Salenc invite Sergio Flores et le mayoral de Los Maños, à l’accompagner dans une vuelta chaudement applaudie, avant de sortir a hombros.

Au sortir des arènes, beaucoup de personnes commentaient haut et fort (beaucoup trop à mon goût) les choix de la présidence. Je veux juste leur rappeler que, seul le premier trophée leur appartient. La présidence a jugé…

J’aurais préféré que les discussions, parfois hystériques, se concentrent sur la noblesse, l’humanité, la solidarité corporatiste du geste d’Adrien Salenc, qui en cette soirée a fait preuve d’une grandeur d’âme, digne d’une belle personne.

Ce garçon n’a pas grandi seulement dans son corps.

Dans les arènes de Lachepaillet, il a fait un peu « frisquet », vent gênant pour les toreros, mais le ciel a respecté les hommes en piste, et les aficionados remplissant le conclave au 4/5e, en retenant ses larmes.

Domingo López Chaves : avis et salut au centre.

Sergio Flores : oreille et double vuelta.

Miguel Angel Pacheco : silence.

Juan Ortega : salut au tiers.

Adrien Salenc : deux oreilles et sortie a hombros.

Dorian Canton : applaudissements.

Président : Bernard Peytrin, très durement chahuté…

Cavalerie Heyral : à la hauteur de la tâche.

 

Patrick SOUX

Avec l'aimable participation de Fred Martinez pour les trois dernières images du diaporama.
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SAINT-PERDON. Novillada vespérale

Publié le par Cositas de toros

SAINT-PERDON. Novillada vespérale

7e édition du concours de ganaderias

 

     Il est 17h30, le paseo s’élance pour cette nouvelle novillada concours de ganaderias désormais devenue traditionnelle pour les organisateurs saint-perdonnais. Comme en matinée, une minute d’applaudissements est respectée en mémoire de Jean-Louis Courtade.

 

Bien que le cru 2019 soit un peu moins « goûtu » que son précédent, il permet à l’aficionado de se rendre compte de la diversité d’ "encastes"" avec le comportement et la présentation propres à chacun. Spectacle à pérenniser s’il en est.

 

Des corales, sont sortis par ordre d’ancienneté : Barcial (Vega-Villar), Aldeanueva (D. Juan Pedro Domecq y Díez), Flor de Jara (Santa Coloma / Buendia), Aurelio Hernando (Veragua), Astarac (Parladé / Gamero Civico) et Pincha (Gerardo Ortega / Marqués de Domecq).

 

                                               Juan Carlos Carballo

Exemplaire dans son rôle de chef de lidia tout au long de la tarde et ce, malgré qu’il n’ait pas été gâté par le sorteo.

 

                            "Graniceron" de Barcial, n°93, né en 02/2016.

A été tardo et manso au premier tiers pour trois rencontres dont il sort seul, désarçonnant le piquero en mode bouchon de champagne à la 3e. Court de charge à la muleta, il finit parado annulant tous les efforts de JCC. A retenir quelques naturelles aidées d’une faena terminée d’une entière trasera. Salut.

 

                       "Elegante" d’Aurelio Hernando, n°11, né en 01/2016.

Bien présenté, il nous gratifie d’une belle sortie permettant à Juan Carlos un capoteo élégant. Très discret sous le fer en deux rencontres où sonnent les étriers, il fait preuve d’une grande noblesse, fade, qui permet au torero de lui servir une faena allurée sur les deux rives manquant toutefois de transmission. L’épée contraire et droite sera hélas suivie d’une bordée de descabellos. Après avoir entendu l’avis, il salue aux planches.

 

                                                Diego San Román

 

                              "Ligon" d’Aldeanueva, n°19, né en 10/2015.

Applaudi à sa sortie pour son trapío, s’avère manso au premier tiers en deux rencontres dont il sort seul. Il refuse la troisième et oblige le picador à changer de terrain pour lui administrer enfin un puyazo. Après avoir mis à mal la cuadrilla à la pose des bâtonnets, il arrive violent au percale, déborde d’entrée le torero qui arrive à lui voler quelques muletazos. Un estoconazo lui permet de saluer.

 

                           "Trembleño" de l’Astarac, n°96, né en 04/2016.

Ne restera pas dans la mémoire collective, décevant qu’il a été, tant au niveau du trapío qu’à celui de la caste et de la force. Deux petites « piquettes » et puis s’en va vers la muleta en montrant des signes de faiblesse. Le trasteo de Diego, bien que volontaire et appliqué, ne pourra être ni lié, ni rythmé, de part la faiblesse de son opposant. Il allonge sa faena à l’extrême sans résultats, sauf celui d’ennuyer l’auditoire. Mise à mort version Bérézina, silence.

 

                                          Víctor Hernández

A été le plus chanceux au sorteo.

 

                           "Nevaïto" de Flor de Jara, n°60, né en 11/2015.

Ses belles et longues charges permettent à Víctor de faire montre de son élégance dans une série de véroniques "templées". Ses deux rencontres avec la cavalerie sont discrètes, il arrive au drapelet avec un minimum de force. Entamée par le bas en gagnant le centre, la faena débute en musique avec de beaux derechazos "templés". A la senestre, il se fait prendre sur une faute. Le novillo va a menos, la faena itou. Entière en deux temps, pétition, oreille.

 

                             "Sonámbulo" de Pincha, n°11, né en 11/2015.

Est sorti des chiqueros bien réveillé. Applaudi pour son trapío et sa belle présentation, il fait preuve de caste et de bravoure au cours des trois rencontres avec le groupe équestre (les deux dernières du centre), tête sous l’estribo, sans trop s’employer. A la muleta, le novillero lui sert un travail complet des deux mains, muleta basse, mais il manque toutefois d’autorité et de domination, si bien qu’en fin de faena, il le laissera partir aux tablas. Ce novillo aurait mérité mieux, et plus. Belle épée entière et engagée, pétition, oreille et grosse pétition de la seconde justement refusée par la présidence.

Víctor Hernández fait une vuelta fêtée en compagnie du ganadero et sort du Plumaçon a hombros.

 

 

"Sonámbulo" a été sans conteste le meilleur novillo de la tarde justement primé par la Peña La Muleta.

 

La présence sur les gradins du président de la commission taurine montoise a été remarquée. Si ma mémoire ne me fait pas défaut, en dix années de Saint-Perdon au Plumaçon, c’est la première fois qu’il honore cette novillada de sa présence.

¿Por que hoy?, esa es la pregunta.

 

Arènes du Plumaçon, 17h30, paseo une nouvelle fois à l’heure (bieeeeen) beau temps, température estivale.

Entrée habituelle.

Novillos des élevages sus cités pour :

Juan Carlos Carballo : Salut et salut après avis.

Diego San Román : Salut et silence.

Víctor Hernández : Oreille et oreille.

Cavalerie Bonijol, un peu secouée.

Président : Philippe Lalanne.

 

Patrick SOUX

 

PS: La plateforme Overblog n'ayant pas relayé le mail de parution cet article paru le vendredi 30 août, date de sa parution, c'est  avec quelques jours de retard que nous rectifions cette erreur et nous vous prions de bien vouloir nous excuser de cet incident complètement indépendant de notre volonté.

 

Avec l'aimable participation de Laurent bernede pour les dernIers clichés.
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SAINT-PERDON. Dimanche 25 août

Publié le par Cositas de toros

SAINT-PERDON. Dimanche 25 août

 

La matinale

 

 

     Dix ans, dix ans que les novilladas des fêtes de Saint-Perdon sont délocalisées au Plumaçon.

 

 

Journée de commémoration, mais également journée du souvenir, de l’émotion, suite à la disparition prématurée de Jean-Louis Courtade en ce début d’année, amoureux par-dessus tout des Contreras à la devise rose et verte de la finca Wellington.

La Peña La Muleta lui rend hommage avec un dépôt d’un bouquet en su sitio au Plumaçon, sitio dont il était le locataire depuis bon nombre d’années puis, par une minute d’applaudissements à la fin du paseo.

Au cours de ces dix années d’exil montois, l’élevage de Baltasar Ibán a fait, quatre années durant, le bonheur de l’organisation saint-perdonnaise et des aficionados. C’est donc tout naturellement qu’elle se devait d’être à l’honneur en ce jour.

 

C’est devant une assemblée malheureusement très confidentielle (mais où sont passés les aficionados a los toros ?) que sont sortis les quatre "Ibanes". Un lot à la hauteur de la réputation de cet élevage, d’un trapío respectable, des armures parfois commodes mais, mobiles, de la caste, de la race et aussi de la noblesse qu’il fallait aller chercher.

Face à eux, deux novilleros qui avaient beaucoup à prouver suite aux échecs respectifs de leurs dernières sorties.

 

                                                 Héctor Gutiérrez

se retrouve face à "Mejicano" (1) qui "remate" fort, beau capoteo terminé en reculant. Bonne première arrancada au premier rendez-vous avec la cavalerie, la seconde est moins intense. Début de faena harmonieux, des séries correctes des deux mains jusqu’au moment où il trébuche à la tête du novillo. Repris au sol, il repart au combat mais "Mejicano" s’est avisé, baisse de rythme et finit aux planches. Une demi-lame portée avec engagement et le novillo lutte avant de tomber. Petite pétition, oreillette gentillette.

"Barberito" (3) fait une bonne sortie et Héctor lui sert un capoteo plus dominateur. Face au piquero, il prend une première ration forte, puissante, il met les reins et renverse la pièce montée. Mis en place pour une seconde, il part avec alegria, hélas, elle sera vengeresse. "Barberito" arrive au drapelet avec beaucoup de poder, pressé qu’il est d’en découdre. Las, là où il aurait fallu de la domination, avancer la jambe, baisser la muleta et s’imposer, l’opposition piétonne a failli. Hormis quelques derechazos isolés, il n’y a pas grand-chose à retenir de son trasteo, allongé au-delà du raisonnable, qui finit en « torchonnade ». Entière delantera et silence.

 

                                                   Yon Lamothe,

"Santanero" (2) fait également une bonne sortie. Yon lui sert un capoteo pauvre au cours duquel il perd du terrain. Au premier tiers, la première rencontre est forte, il reste collé au cheval malgré une pique trasera et rectifiée. La seconde est moins intense, les étriers sonnent. Mathieu Guillon salut au deuxième tiers après deux belles poses dont une supérieure. Brindis à Romain Laborde et Yon entame de belle façon avec deux séries de naturelles toujours entachées par ses éternels trois petits pas de replacement qui empêchent de lier. A la dextre, le novillo proteste, accroche la muleta et rien ne va plus. Une épée entière en arrière et plate suivie d’une kyrielle de descabellos auront raison de "Santanero" après que le premier avis ait sonné. Silence.

Pour en terminer, un autre "Santanero" (4) sort des chiqueros "remate" violemment et arrache le capote au premier passage. Autant dire que son capoteo fut prudent et hésitant. Face à la cavalerie, le novillo se venge d’une première vilaine pique en renversant le binôme. La seconde rencontre sera du même tonneau, batacazo en moins. Yon s’avance au centre de la piste, "brinde" au conclave et entame un trasteo toujours hésitant. Il cherche le terrain, le sitio et la bonne hauteur de muleta. Il a du mal à trouver le tout. Ne ressort de sa faena qu’une petite série de la main droite. Pinchazo hondo et… le toro tombe et sans essayer de le relever, il laisse le soin à son peon de le "puntiller". Des gradins, monte une pétition improbable et le président accorde l’oreille demandée… Nouvelle oreillette gentillette.

Novillada intéressante et entretenue pour l’aficionado a los toros avec des novilleros qui ont été très en dessous de leurs opposants. A mettre à leur crédit, l’élégance dont ils ont fait preuve en laissant chacun faire un quite à José Antonio Pinto, le sobresaliente de service, ce dont il s’est acquitté avec élégance.

 

La seule récompense méritée en cette matinale aurait été, à minima, le salut du mayoral, non seulement au regard du lot présenté ce jour, mais également en souvenir de ceux passés. Il est vraiment dommageable que personne n’y ait songé…

La présidence faite d’amis très proches et ancien collègue de Jean-Louis a été un hommage supplémentaire et discret de la Peña, dans ces conditions particulières sa gentillesse excessive peut être acceptable.

 

 

Arènes du Plumaçon, 11h (pas de retard au paseo) le temps se dégageant progressivement.

4 novillos de Baltasar Ibán, bien présentés pour :

Héctor Gutiérrez : oreille et silence.

Yon Lamothe : Avis et silence et oreille.

Cavalerie Bonijol, souvent malmenée.

Président : Victor Bernadet.

 

Patrick SOUX

 

SAINT-PERDON. Dimanche 25 août
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