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2025, les fêtes de Bayonne en toutes lettres

Publié le par Cositas de toros

 

          La notoriété des Fêtes de Bayonne n'est plus à établir. Mais elle reste peut-être encore à écrire. C'est la mission que s'est lancée en 2022, l'association Le Basque et la Plume. Parmi les initiatives portées par le collectif : un concours de nouvelles qui se tient chaque année pour les fêtes, et, cette année, un livre sur l'histoire de l'évènement qui rassemble également les textes des précédentes éditions du concours. 

     "Si vous voulez que je connaisse vos civilisations, racontez-moi vos Fêtes", disait Saint-Exupéry. Si les fêtes de Pampelune bénéficient déjà d'une importante tradition littéraire, assurée dès les années 1920 par le classique de la lost Generation : Le Soleil se lève aussi de Ernest Hemingway, sa petite soeur, les Fêtes de Bayonne, 4e évènement populaire mondial, n'a pas encore sa place dans les étagères des librairies et bibliothèques. C'est à partir de ce constat que les éditions basques Atlantica, avec l'association Le Basque et la Plume publient Les Fêtes de Bayonne en poche.

     Lisez les manuscrits primés du concours littéraire 2023 avec les plumes de Florence Delay de l'Académie française, ses racines sont bayonnaises, Francis Marmande, journaliste, écrivain, critique littéraire et musicien de jazz, originaire de Bayonne, Maria Larrea, jeune romancière de Bilbao, Jean-Paul Alègre et Frédéric Beigbeder. Un véritable régal, ce livre rassemble les histoires réelles ou fictives des lauréats de l'édition 2023. Chaque texte ou nouvelle raconte Bayonne de manière réelle, irréelle, fantastique, romantique.

     Autre spécificité, le concours est proposé dans trois langues : le français, le basque et l'occitan mais dans trois ouvrages distincts.

Lisez l'édition 2024 (14 euros), il n'est pas trop tard.

                    Gilbert Lamarque

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LE TAUREAU DANS LA FINANCE

Publié le par Cositas de toros

 

          Le Taureau de Wall Street, sculpture en bronze de l'italien Arturo di Modica, élevée à proximité de la bourse de New York, en impose. Son créateur, Arturo di Modica est avant tout célèbre pour son énorme sculpture le "Charging Bull" de 3,2 tonnes ( 4,9 mètres de long et 3 mètres  de haut), installée en toute illégalité devant la Bourse de New York, dans la foulée du krach boursier de 1987, comme un symbole de la "force et la puissance du peuple". L'artiste, qui avait financé l'oeuvre de sa poche (soit plus de 350 000 dollars à l'époque) avait transporté par camion la sculpture en décembre 1989 et l'avait déposée sous un arbre de Noël. Après quelques semaines de guérilla artistique, le taureau avait finalement été accepté par la ville, qui lui avait trouvé son emplacement actuel, au nord du parc de Bowling Green à l'intersection de Broadway.

     Au fil du temps, le "Charging Bull" est devenu un symbole de Wall Street et de New York lui-même, un peu à l'image de la Statue de la Liberté. C'est un symbole de courage et un avertissement aux touristes et aux travailleurs, une force de la nature capable de vaincre toute résistance.

     "Arturo di Modica, est un artiste fantasque, courageux, ambitieux, provocateur. Il a vu le monde comme d'autres ne l'ont pas vu et a donné au monde beaucoup plus que ce qu'il a eu et vu. Un visionnaire de la beauté". 

 Le trou noir

     La bourse  de Wall Street est en baisse, en raison de l'instabilité du commerce mondial provoquée par un certain président ... 

     Le taureau, celui de Wall Street, charge, les muscles tendus, les cornes gigantesques. Un dynamisme au-delà du chiffre d'affaires quelque peu ralenti par les taux de change. Les analystes remarquent un ralentissement inattendu de la croissance.

     Puisse la corrida garder son dynamisme. On ne parle, aujourd'hui, que de la grande panne électrique du 28 avril. En cinq secondes, 60% de la production électrique espagnole s'est évaporée. Reste à savoir pourquoi.

     La nuit est tombée depuis longtemps sur l'inspiration, le crépuscule s'est abattu. C'est bien triste, tout ça. En tauromachie, on ne parle que de Morante et "son grand après-midi à la Maestranza"  mais après ?

     "Fiat lux", première parole de Dieu, le premier jour de la création du monde. N'y aura t'il que Morante pour rétablir la lumière au long de la temporada ou du moins ranimer la flamme. On s'ennuie, rendez-vous en fin de temporada. Ce sera long.

                        Gilbert Lamarque

     

 

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TOROS

Publié le par Cositas de toros

 

 

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MAUGUIO, CERET

Publié le par Cositas de toros

Pour la troisième année consécutive, un "no hay billetes" pour la novillada du Cercle Taurin Toros y Toreros ?

  

 

Le 13 juillet, combattant le fer portugais de Sobral, la der  de Fernando Robleño. En ouverure, les Saltillo toujours aussi exigeants.

 

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BOUGUE, VAUVERT

Publié le par Cositas de toros

Bougue, un nîmois en terre landaise

     Clovis Germain a été le vainqueur du XXXe Bolsín, les portes des arènes de Mont-de-Marsan, Dax, Bayonne, Vic-Fezensac et Plaisance-du-Gers lui sont ouvertes !

    La matinée a qualifié lors de la tienta qualificative, Aparicio Romero, David Gutiérrez et le Nîmois Clovis Germain.

     Le bétail de Jean-Louis Darré (Camino de Santiago), par sa qualité a favorisé le maintien de la journée. Les vaches de la tienta ainsi que les erales de la novillada ont démontré des qualités permettant aux jeunes toreros de s'exprimer en toute sérénité. La classe des erales du Cantaou a éclaboussé le sable du ruedo.

     David Gutiérrez et Clovis ont laissé entrevoir quelques promesses, de bon augure pour l'avenir.

 

Vauvert, jeudi 8 mai 

     Clovis Germain - voila un avenir très proche - se confrontera à Santiago López- Ortega, Manuel Fuentes et le vainqueur du bolsín matinal.

     Le Landais Hadrien Lucq participera au bolsín. Pour la NSP, le bétail est issu des ganaderias Giraud, Pagès-Mailhan, Barcelo et La Suerte. Quatre fers différents qui créeront l'incertitude, le bonheur des uns ou l'infortune des autres.

     Le parrain de cette 3ème édition est l'ancien matador Patrick Varin après Swan Soto et Thomas Joubert pour les éditions précédentes.

    Cela fait trois ans que le Club Taurin El Campo organise le Bolsín Robert Laurent, jeudi 8 mai à 16h30.

                            Gilbert Lamarque

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