Oasis sur le sentier du Bas-Armagnac, le village du HOUGA tire son nom du gascon "Heugar", lieu planté de fougères.
Bâti sur une croupe, il fut un bourg fermé jusqu’à la démolition de la dernière porte en 1775. Riche en architecture religieuse et en architecture civile dont on retiendra un édifice qui authentifie ce village gascon : les arènes. Installées dans un amphithéâtre naturel, la piste rectangulaire aux angles abattus est adapatée aux courses landaises qui s’y pratiquent depuis la seconde moitié du XVIIIème siècle.
C’est dans cet écrin naturel que les reponsables et bénévoles de "la chance folgarienne" nous avaient concocté une tienta de deux vaches de Jean Louis DARRE (Astarac, origine Pedrajas/Guardiola) et deux becerros de Michel AGRUNA (origine Domecq/Jose CRUZ). Bien que différentes, les deux vaches de l’Astarac ont été intéressantes.
La première, tientée par Alberto LAMELAS, prend trois piques avec des mises en suerte "à l’endroit", de plus en plus loin du groupe équestre (cavalerie BONIJOL, piquero Gabin REHABI), fait preuve d’une grande alegria dans l’attaque, de fixité au peto et met la tête en bas. Par la suite à la muleta, malgré le fait qu’elle "reste courte" et qu’elle freine en fin de passe, elle charge avec noblesse, le mufle sur le sable et termine la bouche fermée.
La deuxième, en charge de Arevalo DE PABLOS, a plus été dans le type Pedrajas, plus réfléchie au cheval, avec des charges à mi-hauteur et courtes, se retournant très vite dans les chevilles du torero.
En second sur les deux pensionnaires du Cantaou, un novillero trémendiste, Manuel RODRIGUEZ qui mit le feu aux tendidos...Pour la petite histoire, il sera le sobresaliente du mano a mano aturin le 1er mai.
Pour ce qui est de la suite, la tienta des deux becerros, pas grand choses à retenir mis à part que ça a traîné en longueur entraînant un peu d’ennui sur les gradins…
Heureusement que nous sommes en Gascogne et que chez nous, tout fini par des agapes et mordiou, dans notre bonne Gascogne nous faisons honneur à notre bon roi Henry et diantre !, fichtre bleu !, que cette poule au pot fut bonne…morte couille…pour un peu nous y serions encore.
Sol, moscas, toros, vino y amigos !!! il est quelque fois difficile de partir.
Un ciel d'azur, un vent absent, une petite assemblée d'une vingtaine de privilégiés, du calme, un bien-être ne nous amenant pas toutefois à la béatitude !
Seul le galop des jeunes vaches, le froissement des tissus, les appels des toreros et du piquero, les conseils du maestro et les directives du jeune ganadero sont venus troubler cette douce quiétude.
C'est donc en présence du maestro César Rincon que Guerrita Chico (34 ans), colombien de Caceres et beau frère de César, et Tibo Garcia tout heureux de participer à la fête, ont tienté deux vaches de deux ans issues de géniteurs provenant d'El Torreon.
Chacun put apprécier les qualités de la première, présente devant la cavalerie en deux rencontres (Laurent Langlois), ne cessant d'humilier bouche cousue, répétant sur les deux cornes, se livrant en toute confiance. Une légère faiblesse non rédhibitoire, bien compréhensive après un printemps particulièrement éprouvant.
La seconde s'avéra plus vive, plus âpre. Elle alla "s’exploser" contre le mur à la sortie d'une réception à la cape du colombien. Seul, le muret en garda quelques traces ! Impressionnant.
Par contre, cette taure plus piquante ne passa pas le cap. Elle montra une certaine noblesse sans guère baisser le chef, toujours à mi hauteur, difficile à gauche, quelconque sous la piqûre en quatre rencontres. Le couperet tomba.
Malgré tout, cette vache nous permit de vivre de bons moments avec le sérieux de nos deux diestros du jour.
Seule la noblissime première aura le droit de repartir gambader au campo pour offrir dans le futur quelques prototypes enrichissant la camada comme le furent Chavelino, Engañoso ou Parrandero.
Tibo Garcia retrouva les trastos là où il les avait laissés en octobre dans ces mêmes arènes de Pirette, après une dernière tienta. Il n'a, durant l'hiver qu'effectué du toreo de salon.
L'application de Tibo, sa joie de retrouver les sensations sous les conseils de l'empereur César, faisaient plaisir à voir.
Belle matinée.
NB. Les travaux des infrastructures progressent tout à côté des belles arènes de tienta, le bar, la salle de réception, celle du restaurant présageant d'un bel accueil. Les beaux murs de pierre, les poutres centenaires se découvrent sous la patine du temps : du bel ouvrage !
La nature propose, l'homme dispose. Suivant son bon plaisir et (ou) ses intérêts, il fait le beau temps et plus souvent la pluie.
Le XXIe siècle sera celui de l'animalité ou ne sera pas.
Longtemps étayé par le droit selon lequel l'animal n'est rien de plus qu'un bien meuble, il faut attendre 2015 pour que le Parlement reconnaisse les bêtes comme des "êtres vivants doués de sensibilité". Le Code civil a suivi. Mais ceci, nous le savions déjà.
Le sujet s'impose pour la première fois comme un véritable enjeu sociétal dans le débat public. La souffrance animale est prise au sérieux, la lutte contre les discriminations et la défense des minorités opprimées passent à la vitesse supérieure.
L'heure est aux excès avec comme exemple, l'extrémisme végan qui sème la terreur sur les réseaux sociaux. La légion de la cause animale, radicale et sectaire ne la sert pas, trop de caricatures. Tant mieux.
Nous traitons le chien comme un membre de la famille, nos animaux de compagnie comme des êtres à part entière parce que nous les aimons.
La souffrance de ceux qui sont élevés en batterie ne nous touche pas, ou si peu, faute de lien émotionnel avec eux. Nous occultons tous les faits qui nous dérangent.
Allez expliquer que nous aimons le taureau de corrida et que nous nous réunissons telle une secte pour le voir combattre et mourir !
Deux ourses sont programmées cet automne par le ministère de Nicolas Hulot pour venir sauver la race dans les Pyrénées occidentales (annonce du 26 mars). Aye ! Branle-bas de combat, députés et autres élus locaux montent aux créneaux, les bergers menacent. Aucun effort de la part de ceux-ci pour protéger leurs troupeaux, et pleuvent les intimidations. Quant à ces pauvres politiciens de pacotilles, ils sont à la pêche de quelques minables bulletins électoraux.
L'homme doit négocier avec la nature, cohabiter avec l'ours, le lynx, le loup... le renard et la belette (air connu). En fait, on élimine tout ce qui nous dérange sans se poser les questions essentielles sur la déforestation, l'intensification de l'agriculture. Tout pour ma gueule !
Laissons à l'animal des territoires, engageons des hommes, adoptons des chiens (les patous), regroupons les brebis la nuit, etc. Les politiques du cas par cas, de la nuance doivent triompher.
Quant au taureau, n'est-il pas le plus heureux, choyé dans un campo immense ?
Sachant qui plus est, que Manu, le Président de certains Français, lui, défend la corrida ! Notre Jupiter, tonnerre de Zeus !
Je ne vous ferai pas l'affront comme nos édiles et responsables des hautes instances tauromachiques - samedi 7 avril, 11 h, arènes du Plumaçon - de vous préciser qui est Botero.
Personnellement, je trouve le sujet sympa, bien en phase avec la Madeleine.
Un toro ou un picador aurait été du plus mauvais effet !
Sachez tout de même, pour les distraits que Botero n'a pas créé cette œuvre spécialement pour la feria montoise.
Ensuite, il nous fut désagréable à nombre d'entre nous de voir s'égréner la fin de matinée au Plumaçon dans un tel contexte.
Entre les péroraisons de l'un (le seul, l'unique) et les platitudes des autres (la majorité), tout ce petit monde manifestement heureux de se retrouver, semblait ignorer parfois qu'il y avait un public sinon respectueux, au moins respectable. Affligeant.
Et tout ces babillements (c'est mignon), pour nous dévoiler des cartels à demi- périmés.
Résumons : il y aura trois contrats dont seront privés de valeureux et méritants toreros. La faute aux deux mano a mano des 4 cavaliers de l'apocalypse, (des 4 sénateurs dans ce contexte, serait plus approprié), et la répétition de Juan Bautista.
Mano a mano au Moun, à Saint-Sever, celui de Villeneuve - celui du 1er mai à Aire, tout à fait compréhensif par le choix de trois élevages - d'autres mano a mano en préparation et (ou) oubliés par ma mémoire sélective, et enfin le solo de Dax. Ceci dans l'air vicié du temps présent.
Nos 4 sénateurs n'allant pas "se tirer la bourre". Ils se feront des politesses, des courbettes, en riant sous cape, bien entendu, profitant de la naïveté de certains et de la médiocrité de nos instances. Bien sûr, il y a les fans, honorables ; ça ne se discute pas sur cet angle. On adule X ou Y. Il y a des aficionados aux toreros comme il y a des aficionados a los toros
Pour ces derniers, les enfants perdus, ils se consoleront avec gourmandise admirant les lots de La Quinta avec Bautista, évidemment, et de Dolores Aguirre pour la tarde dominicale.
Pour ce dernier jour, Octavio Chacon (Ocatvio Chacon imprimé sur le flayer, on relit !) et Juan Leal (récompensé de sa brillante tarde de Bilbao, l'année passée, du moins je le présume), accompagneront le "choix des abonnés" dont je n'ai pas saisi le procédé de mise en œuvre. Enfumage ?
Sans oublier bien entendu, l'incontournable despedida de J.J.Padilla face à des toros agréés de Jandilla. La ganaderia à l'étoile à 6 branches a vu s'effectuer cet hiver, à sa tête, le passage de témoin du père, Borja Domecq Solis vers le fils, Borja Domecq Noguera.
Où sont les jeunes espoirs de la toreria d'aujourd'hui et de demain ? Sont-ils condamnés à demeurer sur le pas de la porte en attendant que les nantis franchissent le seuil de l'ehpad ?
C'est tout à fait en osmose avec le milieu ambiant.
La société française s'est durcie, l'égoïsme des riches flamboyants devient plus arrogant. On les célèbre dans les médias comme des rock stars au lieu d'évoquer ceux qu'on a laissés au bord du chemin et dont on a confisqué, ou même disqualifié la parole.
Vous ne trouvez pas une similitude ?
Toute cette pauvreté accompagnée de la novillada non piquée du jeudi matin ainsi que la novillada piquée en nocturne le samedi dont l'heure de programmation fait toujours polémique. Et ceci bâclé à la vitesse de la lumière.
De toutes les façons, ces deux spectacles "mineurs" ne sont plus en odeur de sainteté parmi les instances.
J'ai été le témoin oral de propos jetés par un responsable montois. Ces deux sous produits pouvant être mis au rebut des futures affiches. Pas rentables ! Mais qui parlent de rentabilité ? N'y aurait-il pas de profits, les aimables mano a mano ne vont ils laisser que des peaux de châtaignes ?
Dormez tranquilles, les caisses se rempliront en supposant un embonpoint relatif des recettes, impliquant par ce fait l'engraissement du prestataire.
Nous y voila, retour à l'affiche. Est-ce un signe subliminal ?
Et une arène de Première ne doit elle pas promouvoir ces manifestations ?
Il est vrai que vous ne voyez jamais ces personnes à Plaisance, Castelnau ou en matinée des NSP de Roquefort et autres villages aficionados. C'est tellement plus valorisant de se retrouver à Bayonne, Dax, Nîmes (bien sûr), Bilbao, Madrid !...
Voilà, Mont-de-Marsan-sur-Misère est bien l'antichambre de Nîmes (voir les cartels de Pentecôte) et ces Messieurs-Dames vont se faire les ambassadeurs de la Madeleine à Madrid, à Paris. Les conquérants des capitales !
Je terminerai afin de rester fortement grincheux et atrabilaire par l'incivilité d'une majorité du public qui se dirigea avant la fin des présentations vers l'abreuvoir en passant vers le patio, jetant un œil (j'ose l'espérer) vers l'azulejo dédié à Ivan Fandiño, offert par les peñas montoises.
Certes, la présentation était fort longue, mais nous étions avertis, les horaires avaient été inscrits dans les médias.
La faute aussi à tous ces bavardages sans réel intérêt, qui bien souvent se sont dilués sur le sable et les tendidos désertés. La faute à tous ces égos qui souhaitaient briller le temps d'un flash, celui d'une photo.
Alors, pour ceux qui avaient glissé vers les extérieurs, mais surtout pour les absents, sachez que l'on présenta les futurs spectacles de l'Agglo, le bolsin de Bougue, la novillada concours de Saint-Perdon et ses 6 élevages, tout cela conclue avec la corrida des victorinos, le 22 septembre et la présence au cartel de Juan Leal en attendant que les noms des deux autres maestros soient dévoilés ultérieurement.
Je rassure quelques inquiets, les auges de la Tumade ont bien été vidées !
... Une remontrance pour les futures présentations. C'est bien de vouloir innover mais c'est bien aussi d'y réfléchir véritablement.
Heureux les satisfaits, l'aficionado séduit et comblé !
Navrant vous ai-je dit, mais que ceci ne devienne pas désespérant.
Gilbert LAMARQUE
Ce billet d'humeur a volontairement été publié le vendredi 13 à 13h13 ...
... probablement pour combattre le
Pensez également à vous munir d'un
Non, ce n'est pas un boomerang, car il pourrait se retourner contre vous !
Nous vous le disions en titre: Garlin-les-Bains...
Dimanche 8 avril. Des toros et des hommes
Les tendidos garnis copieusement sous le couvert des arènes de la Porte du Béarn.
Pluie le matin, pluie l'après-midi, les bénévoles sur le pont pour écoper sans cesse, un froid sibérien.
Certains ont vu un couple d'ours blanc roder autour des cuisines, alléché par les effluves des garbures. D'autres avaient pu les observer remontant les eaux tumultueuses du Bahus !
Enfin, notre rendez-vous avec Pedraza de Yeltes en ce dimanche hivernal, nous a permis de nous réconcilier avec la devise blanche et verte qui nous avait fâchés ici-même, l'an passé.
Par ordre d'entrée en scène, merci à : Campeador, Medicito, Tontillo, Pomposito, Huracan et Fantacioso, à Angel JIMENEZ, Antonio GRANDE et Dorian CANTON.
Tous furent les acteurs précieux de cette tarde entretenue.
Un lot de cornus bien présenté, armé, brocho parfois, astifino souvent et certains aux belles défenses astiblancas.* Ces astados nous ont offert de beaux tercios de varas, aux galops souvent pleins d'alegria. Mais rares furent les piqueros dignes de leur fonction, valeureux par contre les jeunes toreros, muleta au poignet.
Angel JIMENEZ, le vainqueur désigné par le public de la fiesta campera matinale, se montra à son avantage par un travail tout en finesse et intelligence. Cependant, il eut à subir quelques difficultés devant le premier, la faena se terminant a menos. Il tue d'une entière en prenant le boulevard extérieur. Une oreille.
Pomposito, son second opposant, faiblira après les deux piques. La piste est plus imprégnée qu'en matinée, malgré les soins, mais ceci n'explique pas tout. Avec ce noble castaño, la faena s'avérera trop longue mais enrichie de belles séries, notamment une en derechazos. JIMENEZ tue d'une demie d'effet rapide, chanceuse (?). Le novillero s'engageant fort peu sur ses deux mises à mort. Une oreille.
Le Pedraza sorti en second n'est pas des plus beaux, il subit un tercio de piques en deux rencontres déplorables. Antonio GRANDE nous offre une kyrielle de naturelles souvent tutoyées. Il fut, préalablement, désarmé, bousculé. Certes, Medicito n'est pas des plus coopérateurs et le salmantin s'accroche ardemment. L'aboutissement est confus. Une épée foudroyante, un avis, l'oreille.
Huracan prendra trois piques avec alegria. Un peu faible mais noble, GRANDE sécha (comment fit-il sous ce ciel !), ne trouvant pas le sitio, peu conseillé par le peonage qui ne sut qu'éructer des " bieennn !" Il hérita du lot le plus quelconque.
Il pâtit des nombreux hachazos et sa muleta en fut chahutée. Il saluera au tiers après une entière basse.
Le colorado Tontillo s'offre à la cape de Dorian CANTON, à genoux. A la belle première pique effectuée par Laurent LANGLOIS, suivirent deux plus quelconques alternant avec une rencontre "à vide". Toujours vaillant et consciencieux, Dorian libéra quelques séries des deux mains, cambiadas... et voltereta. Il sut se reprendre par la suite avec ce Pedraza encasté. Manoletinas finales, échec à la mort, un avis. Tontillo avait du potentiel mal exploité.
Et voici Fantacioso, negro bociclaro (mai 2014), un novillo / toro. Il fut victime de deux piques dont la première interminable, le piquero ne relevant à aucun instant la vara.
Il en faut du courage pour provoquer ce Pedraza. Dorian semble dominateur, le public est bouillant (cela réchauffe). De bons derechazos, mais le jeune diestro est discret avec la main gauche.
Le volontaire béarnais jette sans cesse un regard vers son mentor, figeant son geste. Le professeur est omniprésent, trop parfois. Dorian doit s'exprimer, ça bouillonne sous le traje. Tant pis pour les erreurs, on apprend de ses échecs. Par contre, le précieux maestro faisant le tour du ruedo, fit changer de terrain son élève, vers celui des piques. Ceci permit de libérer Dorian et la faena se termina par de belles séries avec un animal collaborant, les deux acteurs plus confiants. Le triomphe éclata après une entière au deuxième envol suivie d'un descabello. Un avis, deux mouchoirs apparurent au balcon d'une présidence hésitante.
Vuelta au troisième, Tontillo. J'aurai trouvé plus judicieux, la vuelta au dernier, Fantacioso plus complet, et récompensant la caste de l'ensemble du lot.
Cavalerie Bonijol.
Saluts de MIGUELITO et Marco LEAL au premier, d'A. ECHANIZ CAMPOS au sixième.
Salut au final de Curro SANCHEZ mayoral-piquero.
Prix au meilleur novillero à D. CANTON. Et A. JIMENEZ ?
Le prix de la meilleure pique a été partagé entre L. LANGLOIS et, ridicule, avec C. SANCHEZ.
Présidence Franck LANATI.
Musique : l'Harmonie Garlinoise.
Un Béarnais conquérant sur les terres du Vic-Bilh. Mais attention, sans être un vieux grincheux, ces deux sorties a hombros successives ne doivent en rien faire baisser la garde du vaillant novillero !
Quant à nous, modestement, nous avons élu la garbure béarnaise ; la gersoise et la landaise ne déméritant pas. Il était dit que seuls les Béarnais sortiraient vainqueurs sur leurs sols.
En matinée, la fiesta campera débuta à 11h 35, la pluie incessante nous resta fidèle tout au long de la journée.
Angel JIMENEZ gagna le droit de prendre les trastos l'après-midi, choisi par les aficionados présents.
Rafael GONZALEZ sortit tête haute mais fut plus laborieux.
La maison URANGA put se défaire de deux exemplaires brocho pour l'un, bizco pour l'autre, invendables sinon. Compréhensible.
*Astiblanco : les cornes sont de couleur blanche jusqu'au début du piton, pour terminer sur une couleur noire intense.