Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria

Publié le par Cositas de toros

Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria

 

Dimanche Matin 11h30

 

Dans les chiqueros, 6 exemplaires de la ganaderia de Hermanos GARCIA JIMENEZ.

Le lot est sorti faible, voire très faible, sans race, 11 rencontres pour une seule vraie pique (la première du toro sorti en quatrième position), tous fléchissant ou tombant au sortir du cheval. Ils arrivent parados à la muleta, vous l’aurez compris, une matinée d’aburimiento.

Les piétons, avec un chef de lidia

                                                    J.J. PADILLA,

dont c’était la despedida en terre dacquoise, après avoir reçu la médaille de la ville, nous a fait du PADILLA. Il met l’ambiance sur les gradins aux bâtonnets et nous gratifie d’un travail "sur les berges de l’Adour" (vous aurez compris l’engagement), même engagement à la mort, bis repetita au second avec deux saluts au centre en récompense. Il part à la fin de son deuxième prendre l’avion à Biarritz, attendu qu’il était à Béziers à 18h. 

                                              J.M. MANZANARES ,

avait amené son linge de maison (drap de lit) en remplacement de sa muleta. C’est beau, c’est lent, et c’est… du pico. Tant et si bien qu’il finit par désintéresser son deuxième qui part en querencia à la fin de la faena. Il le tuera d’un recibir dans les planches et coupera une oreillette ! (aurait-il des problèmes d’audition, pour l’oreillette bien sûr).

                                                Andres ROCA REY,

amène son premier au centre avec une muleta dominatrice à gauche, le toro voudrait mais ne peut pas. Trasteo intéressant, dominateur et construit, mais qui manque d’émotion par la faiblesse de son opposant. Entière efficace, arrastre sifflé. Son second se casse la corne en rematant au burladero. Animal changé et, galère pour le rentrer y compris avec les cabestros. C’est là que J.M. MANZANARES devenu chef de lidia après le départ du Pirata, a fait le plus beau geste de la course allant s’enfermer dans l’entrée du toril afin de faire le quite au toro. Le sobrero du même fer sort des chiqueros. Le maestro le banderille moyennement, comme le premier. Il arrive à la muleta avec violence, en deux séries à droite et une à gauche. Andres règle le problème. Malheureusement le toro est faible et raccourcit sa charge très vite. ROCA REY tuera vite et bien par une demi en place. Applaudissements.

 

 

Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria

 

Dimanche après-midi 18h

Grande tormenta y gran terramoto en la plaza de DAX

 

6 toros de Santiago DOMECQ, pardon, 4 toros y 2 novillos (le 2 et le 6). Vous avez dit le 2 ? mais ce n’est pas celui qui… mais oui Monsieur, il s’agit bien de lui. Les six on manqué de caste et  de race pour 11 rencontres et 1 pique (le 3), fléchissant pour la plupart dans leur combat à la muleta. Je dois quand même dire que le lot est mieux sorti que celui du matin, OK ce n’était pas compliqué !!!

Pour Sébastien CASTELLA, Gines MARIN et Jesus Enrique COLOMBO.

Le meilleur de l’après-midi est sans conteste à mettre au crédit de

                                            Sébastien CASTELLA

qui nous a démontré tout au long de ses deux faenas ce qu’était toréer, dominer un toro et le conduire après l’avoir réduit…n’en déplaise aux grincheux !!! Deux faenas différentes données à deux toros différents, c’est ce que l’on appelle l’adaptation. Son premier de media casta est noble et il lui lie de belles séries des deux mains après avoir réglé les problèmes de tête. Entière, 1 oreille. Son second, il le cite de loin et le toro vient pour deux séries sur les deux rives et final incimiste, à la CASTELLA, dans les cornes, les pieds rivés dans le sable. Une demi suivie d’une entière un peu caida, salut au centre.

                                                   J.E. COLOMBO,

ne nous a pas gratifiés de la tauromachie fleurie sud-américaine. Avec son premier adversaire faible auquel il pose très moyennement les banderilles, il est obligé de composer avec un toro qui proteste à la muleta, qui fléchit des antérieurs en cours de passe  et qui fini par raccourcir sa charge et par s’aviser. Il arrête sa faena  et porte un entière très engagée et foudroyante. Applaudissements.  Son second, un novillo (480KG mais sûrement à l’embarquement) donne quelques signes encourageants aux banderilles car après trois paires posées à cornes passées, il poursuit le maestro jusqu’aux planches. Après avoir brindé la mort de son novillo aux "touristes" il entame un trasteo qui reste rapide, qui se continue sur l’autre bord. Il n’arrive pas à templer et se retrouve face à un novillo intéressant qu’il n’arrive pas à dominer complètement. Final en bernardinas serrées, 2/3 sur le côté et oreille.

Pour terminer,

.                                                   Gines MARIN,

qui est à mes yeux le responsable de l’orage et du tremblement de terre dacquois qui restera dans les mémoires comme celui du 12 août 2018 à 19h07. En effet, lorsque sort, à 18h42, Lebrero né en mars 2014 et portant le n°106, je crois voir sortir un novillo (480Kg lui aussi et sur la même bascule), il fait une sortie discrète, 4 véroniques et nada mas, un premier picotazo dans le morillo et un second dans l’épaule, 3 paires de banderilles normales et Gines brinde au conclave. Ensuite il claque une faena lambda, quelconque, faite de passes sur le passage, si je reprends mes notes, j’ai écrit : "Ce pega paso reste sur la bordure d’un careton sur pattes". Il termine par une série de bernardinas et soudain tout bascule avec la demande exacerbée de deux ou trois personnes pour l’indulto. Le gamin entend, repart pour une série, la pétition monte, Gines continue en s’adressant à la présidence prenant le public à témoin. Ça monte et finalement, le président en la personne de Monsieur Guy BOURNIAC, baisse le pantalon et sort le mouchoir orange !!! Gines MARIN est à l’origine de cet indulto. Il a toréé ce novillo pour l'indulter, refusant de tuer le toro  et prenant le public à témoin alors que la présidence ne s’était pas prononcée.

Monsieur Gines MARIN, Maestro, vous êtes un matador de toros et de ce fait vous vous deviez de tuer ce toro. Quant à vous Monsieur Yannick BOUTET, vous l’alguacil des arènes, vous devez faire respecter les ordres de la présidence. Où étiez-vous durant ce flottement où la présidence "réfléchissait", vous auriez dû intervenir pour demander au Maestro de tuer son toro.

Je n’hésite pas à le dire, l’indulto doit rester un fait exceptionnel, donné à un toro de bandera, à un toro complet et, j’en suis désolé, mais Lebrero était à des lieux du toro complet !!! Et donc cet indulto est purement scandaleux. Cette nouvelle aficion vient aux arènes pour voir 80 passes de muleta sans regarder comment elles sont données, sans tenir compte du premier tiers ni même de la suerte suprême ! peu importe comment l’épée est portée ni où elle est mise, pourvu qu’elle rentre et que le toro tombe, je vous le dit, cette aficion là sera tout bonnement et tout simplement responsable de la mort de la Corrida, celle que nous aimons, celle où on voit des toros des vrais et non ces collaborateurs ennuyeux.

La faena de son deuxième est tellement anecdotique que je ne m’étendrais pas plus sur le sujet.

Dimanche 12 août :

Le matin, très chaud no hay billetes.

L’après-midi lourd se couvrant très rapidement, quelques places vides.

 

Patrick SOUX.

Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria
Dimanche 12 août Dax, 1er de Feria

Voir les commentaires

MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.

Publié le par Cositas de toros

                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.

4e novillada concours de ganaderias sans picadors

 

            Village de 450 habitants, l’affiche avait réuni 300 spectateurs bravant la chaleur. Ce public garnissait la moitié des arènes construites par les bénévoles de la commune en 1995, rénovées en 2015.

Maurrin ? Certains se posant la question à Riscle la veille… est un village landais situé à 11 kms de Mont-de-Marsan, proche du Gers, sur la route allant vers Auch, à 17 kms du Houga.

 

     Cette novillada est organisée conjointement par le Comité des Fêtes et la peña Toro Cardeno de Grenade-sur-l’Adour.

300 entrées (et combien de revisteros ?), cela suffira-t’il pour une édition 2019 ?

 

 

    Valentin Hoyos Calama, présent à Riscle la veille, hérita d’un Alma Serena d’origine Miranda de Pericalvo, bien bâti, à la superbe tête. Cet élève de l’école taurine de Salamanque, finaliste du bolsin de Bougue ne m’enflamma guère  (heureusement, vu les degrés affichés !). Il récite et manie la muleta loin du corps. Quelques coups de tête de l’eral se défendant, glissant vers les planches. Epée au 3/4, efficace. Vuelta.

 

    Solal Calmet Solalito, vainqueur du bolsin de Bougue, ne s’est pas véritablement entendu avec Enamorado (un comble!), le Casanueva castaño bociblanco à la cambrure soutenue. Il posa 3 paires de bâtonnets, la 3e ne convenant pas, il nous offrit une dernière comme il le propose souvent, plus aboutie.

Solal tient le bicho au milieu du ruedo qui humilie tout en donnant quelques coups de trombine désordonnés, manifestant sa faiblesse. Le Nîmois ne sut pas trop composer avec cet état. Quieto malgré tout, il aligna des séries allurées des deux mains. Mais sans que cela soit parfait, Solal nous offrit une faena sérieuse et bien construite. Il faut être deux pour cela, les qualités du Casanueva l'aidèrent. Échec à la mort. Silence.

 

    Yon Lamothe récolta le dessert dominical, Tibielo, l’Alma Serena issu de Garcigrande. Qui dit Garcigrande, dit noblesse. Bon capote du Tarusate et le bicho étale ses qualités avec vivacité. Des séries de la gauche, plus templées à droite. Entière de côté. 2 oreilles (… une pour l’eral). Arrastre applaudi.

 

    Javier Adan de l’école madrilène El Yiyo, faisait sa présentation en France, revêtant l’habit de lumière pour la première fois. Dur baptême ! Il lui fut servi une vache de La Espera et l’une des pires ! Une honte. Honte à l’éleveur qui mérite le purgatoire ! Quant à l’enfer, c’est Javier qui le visita. Il se bagarra avec cet animal débile et sans race. Il se croisa, mit la jambe, ne renonçant jamais, bousculé, désarmé maintes fois. La mort fut pénible, un avis. Palmitas.

J’ai entraperçu des qualités chez ce jeune madrilène, triomphateur du bolsin de Colmenar Viejo. Il obtint quelques points positifs sur la fin de sa faena. A revoir.

 

    Les prix de l’ACOSO au meilleur novillo revint donc à Tibielo d’Alma Serena et celui du meilleur novillero, à Yon Lamothe.

La peña Toro Cardeno remit son prix à Solalito pour sa faena.

 

                                                                                             Gilbert LAMARQUE

 

 

Toutes mes plates excuses pour ce "reportage" photographique tronqué. Après Valentin et Solalito ce fut le trou noir ! Une batterie non rechargée. Quelle faute ! Oui, mais une faute de jeunesse !

 

                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.
                            MAURRIN. DIMANCHE 5 AOÛT. 19H.

Voir les commentaires

Parentis, dimanche 05 août

Publié le par Cositas de toros

Parentis, dimanche 05 août

 

La matinale

 

 

11h sonnent, les clarines itou, le paseo démarre, nous avons même trouvé une belle place en barrera SVP et à l’ombre bien sûr.

L’ADA nous déclinait, cette année, cette matinale sous forme de fiesta campera avec deux novillos de Couto de Fornilhos pour Alejandro FERMIN et Jésus MEJIAS, la prime au vainqueur étant la troisième place dans le cartel de l’après-midi. Le choix étant fait par les spectateurs matinaux qui se voyaient offrir l’opportunité de donner leur avis sur la question au sortir du spectacle en déposant leur billet d’entrée dans l’une des deux urnes de leur choix. Très démocratique tout ceci Monsieur… (à la mode garlinoise).

Las, pour avoir un véritable choix, il aurait fallu qu’il y ait matière, hors matière devait avoir autre chose à faire, elle a manqué le rendez-vous. Non pas par la faute des organisateurs qui, à mon sens ont bien fait les choses, mais plutôt par le manque de novillos. En effet, entre le premier qui sort invalide et le second manso et sans options, les spectateurs ont eu le choix entre la peste et le choléra (si je puis me permettre).

En effet,

                                                Alejandro FERMIN,

a vu sortir des chiqueros un beau novillo qui s’est très vite révélé handicapé du train arrière (on peut dire handicapé pour des animaux ? ou il faut également parler de novillo à mobilité réduite). Cet animal avait du potentiel, partait avec alegria à la pique mais faute de pouvoir pousser n’a pu démontrer toute sa bravoure. Alejandro, malgré toute sa meilleure volonté (et il en a eu) ne pouvant  construire un trasteo  efficace a dû écourter sa faena.

 

                                                    Jésus MEJIAS,

quand à lui a compris que l’animal qui lui était opposé ne le servirait pas beaucoup. D’entrée difficile à fixer, il cherche les planches à la sortie de la première pique, malgré tout il en prend une deuxième sans conviction et repart au toril. Jesus essaye en vain de l’amener vers le centre sans résultat. Il part alors dans sa querencia sans plus de possibilités. Et comme il n’a pas été très adroit ou chanceux (c’est selon) à la mort, le novillo tombe après deux pinchazos, et nous, nous restons dubitatifs…

Difficile choix que celui des spectateurs. Mais, vox poluli, vox dei… Attendons quelques heures et nous saurons.

 

 

 

Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août

 

L’après-midi

 

 

Au menu, 3 novillos de Couto de Fornilhos (Conde de la Corte y D. Atanasio Fernández)  les 1, 3 et 5, puis, 3 de Santa Teresa (D. Luis Gamero Cívico-D. Juan Guardiola Soto) les 2, 4 et 6.

 Apparemment ni le même propriétaire, ni le même élevage, ni le même sang. Le seul point commun est le même représentant en la personne de D. Pablo Hernandez Alonso (???). Si quelqu’un a des infos plus précises, je suis bien évidemment preneur.

La seule chose évidente est qu’il ne fallait pas arriver en retard.

Nous nous sommes donc installés à nos places respectives, bien à l’ombre confortablement assis sur un beau coussin lorsque mes voisins de gauche (deux messieurs d’un âge certain) se sont plaint d’être trop à l’étroit et se permettent de déranger l’organisateur qui passait en callejon !  Je me suis donc mis en mesure de démonter à ce monsieur que j’étais bien à ma place, lui me prétendant le contraire tout assis qu’il était sur la moitié de mon coussin. Ah, la mauvaise foi… Ce n’est pas forcement que féminin. Bref n’étant pas venu aux arènes pour faire faire quelque économie au régime général de retraite, je me suis mis en mouvement afin de la battre (la retraite) et suis allé me placer deux rangs au dessus. Je pensais naïvement que l’incident était clos, que nenni… Car, contre toute attente mon compañero du jour s’est fait un devoir de questionner mon ancien voisin qui était devenu le sien (ça va, vous suivez toujours) afin de savoir s’il s’était acquitté de la différence du prix de la place que j’avais bien voulu leur céder… Vous aurez compris que cette petite mésaventure nous aura fait l’après-midi. Et tout ça pourquoi ? Pour quitter sa place à la fin du deuxième toro estimant qu’il n’avait toujours pas assez de place !!!

Alors, je m’adresse à vous mesdames et messieurs responsables des HEPAD, je vous en prie, faites attention aux personne à qui vous distribuez des autorisations de sortie, un jour tout ça finira mal, je vous le dit…

Bien, faudrait peut être que je vous parle toro non ?

La novillada est sortie intéressante surtout grâce aux trois Couto supérieur le 1, mansote le 3, encasté le 5. Les Santa Teresa ont eux été relativement inexistants, mansos et faibles avec une prime au 4.

 

                                          Juan Carlos CARBALLO,

hérite du meilleur avec son premier. Un novillo encasté qui "demandait les papiers". Nativo  a trouvé face à lui un novillero motivé, un novillero qui sait ce qu’est lidier un toro, enfin (!!!) un novillero qui met la jambe et qui de plus a eu l’intelligence d’arrêter sa faena au bon moment sans en faire trop. Oreille demandée, accordée et largement méritée. Son second de Santa Teresa n'a   d'Artillero  que le nom, il fuit les capotes. Au premier tiers, il est tardo et sort seul de la deuxième puya. Parado aux bâtonnets, le tercio est compliqué et, sur la première série de muleta, il tombe sur un pecho et ne se relèvera pas obligeant le peon à le puntiller… (Silence)

 

                                               Carlos ARANDA,

prend le Couto en premier, novillo mansote, fuyant les appels des peones. Sévèrement et mal piqué dans l’épaule à trois reprises, il arrive parado à la muleta. Carlos fait les bordures et s’évertue à prolonger une faena inexistante (silence). Son second, le Santa Terasa sort des chiqueros avec vivacité répondant aux quites. Carlos l’attaque avec des véroniques gagnant le centre de la piste, on se prend à espérer. Aux piques, après avoir renversé la cavalerie au premier contact, nous avons frôlé la catastrophe

lorsque le novillo charge le monosabio le prenant par la ceinture (!!!). Par la suite le tercio s’est transformé en règlement de compte avec le piquero assassin qui continue à piquer après les clarines (où étaient les alguaciles ?) et le reprend une quatrième fois en sortant du ruedo. Il finit la sortie sous les huées de la foule. Malgré cela, le novillo arrive violent dans  la muleta trop tendre de Carlos qui restera une fois de plus sur le bord sans  jamais s’imposer. Avec une muleta plus autoritaire ? quien sabe ? Mise à mort « laborieuse », avis et nouveau silence.

 

                                                   Jesus MEJIAS,                                    

                                    le gagnant surprise de la matinale !

Son premier Couto sort  et répond aux cites, suite de véroniques avec media au centre. Il prend une bonne première pique en mettant les reins, il vient à la seconde avec alegria mais sort seul, la troisième itou. Jesus entame sa faena par le bas mais la suite est difficile, le novillo est violent distribuant des hachazos en veux tu en voilà et il ne sera jamais en mesure de résoudre ces problèmes. Le jeune homme est beaucoup trop tendre pour ce genre d’opposition, silence. Face à son second le Santa Teresa (copie conforme de ses deux frangins), qui ne prend que deux piques avec plus de violence que de bravoure, il entame sa faena de muleta montera vissée sur sa tête, façon ESPLA des grands jours, hélas, il ne suffit pas de, pour...(ça à la couleur, le goût, mais ce n'est pas...) il insiste pour tirer quelque chose de ce novillo qui est parado à droite et des demi charges à gauche. Très superficiel, il insiste encore et encore, le public fini par se lasser  et il en terminera avec une entière delantera suivi d’un avis et de trois descabellos. Silence.

Le passage dans ce ruedo du pays du Born est décidemment loin d’être un exercice de style. Et même si certains novillos nous paraissent être restés inédits, il n’en demeure pas moins vrai qu’une course qui donne de l’émotion, qui est entretenue avec du bétail qui bouge et qui est excessivement bien présenté et bien vous savez quoi, nous en redemandons.

 

Patrick SOUX

 

 

Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août
Parentis, dimanche 05 août

 

Pas mal les nouveaux non? Qu'en pensez vous?

Voir les commentaires

4 et 5 Août, WE Parentissois

Publié le par Cositas de toros

      En prenant la route en compagnie de mon compañero du jour, j’ai nommé notre bon Docteur des pauvres,  nous savions que la route serait longue jusqu’à Parentis en Born, qui plus est à 80 Km/h !!!

A mesure que les kilomètres s'égrainent, le paysage change et lorsque nous abordons Parentis, toujours la même impression me taraude l’esprit. Un air de paysage dur, un air de rusticité, comme si le temps s’était arrêté en ce pays de Born. Cette année l’impression était encore plus forte. Mon âge qui avance, ou les prémices d’une journée qui s’annonçait caniculaire avec la lumière crue, vive, froide qu’elle engendre ont sûrement renforcé cette impression.

Finalement, ce n’est peut être pas un hasard si les organisateurs de l’ADA aiment le toro dur et âpre, un toro à l’image des gens de cette terre. Peu importe le pourquoi, c’est le toro que nous aimons (au moins pour les collaborateurs de Cositas) et, c’est ce qui fait que, malgré cette impression, nous y revenons tous les ans.

Pourvu que ça dure…

Pour ce premier jour de feria, nous accueillons, avec un grand plaisir, un nouveau collaborateur qui a pris en charge reseña et photos. Vous pourrez voir par la suite que le lendemain un autre petit nouveau s’est, lui chargé des photos.

Nous espérons qu’ils continuerons, au moins de temps en temps à nous gratifier de leurs commentaires judicieux et de leurs grandes qualités de "preneurs d’images."

Patrick SOUX

 

Samedi 4 Août

4 et 5 Août, WE Parentissois

La satisfaction d’avoir assisté surtout à une course de Toros digne de ce nom, tel  fut mon sentiment à la sortie des arènes de Parentis ce samedi 4 août !  Bien loin du Toro qui permet comme il se dit. Qui collabore, qu’il faut inventer, tenir debout et offre pour finir un triomphe qui laisse à l’aficionado "a los Toros" au final un goût amer !

Des novillos qui vont au bout du pourquoi ils ont été sélectionnés, élevés…combattre ! Vendre chèrement leur peau, faire honneur à leur courant de sang (Carlos Nuñez), à leur éleveur qui durant 3 ans a pris soin d’eux, a fondé ses espérances pour représenter dignement son élevage…

Variés de robe, de morphologie aussi, avec de belles têtes qui ne laissent place à aucune suspicion...

Une présence en piste qui captive en permanence l’attention, les regards. Pas des clones mais tous avec une personnalité différente tant dans leurs qualités mentales que leurs défauts !

17 piques vraies, pas des picotazos pour justifier la présence d’un piquero, mais des puyas nécessaires, vraies, certaines certes mal données (traseras, épaule etc...), mais souvent appuyées avec des novillos qui parfois mettaient les reins, mais qui jamais n’ont refusé le châtiment !

Citons la bonne prestation et la volonté de bien faire de Laurent LANGLOIS au 3 et surtout au 6 (suite  à la blessure du piquero  Jesús  del  Bosque qui  a frôlé la cornada grave).

2 élevages  Aguadulce  (le 2-3-4-6)  et  J.M. Aristrain de la Cruz  (le 1 et le 5) pour un même propriétaire et un même courant de sang !  

Au 3e tiers, malgré les puyas, toujours à l’attaque, de la mobilité, du piquant, avec toutes complications que cela suppose…alors  pas de toreo superficiel, de la lidia, de la technique sinon  patatras !

A ce stade-là, les novilleros qui ont le courage de s’y coller méritent tout notre respect. Je ne rentrerai pas dans les détails de chaque faena ou à ce qui y ressemblait… dirent qu’ils ont été en dessous de la qualité globale de l’envoi quand on est sur les gradins est facile, mais c’est mon ressenti…hélas ! 

 

                                     Daniel GARCIA NAVARETTE,

avait montré l’an passé, devant aussi des novillos encastés une technique, un torero engagé…samedi il fut plus en retrait, je n’ai pas perçu une progression dans son approche de la lidia malgré les conseils de J. A. Campuzano très présent !  À sa décharge le 1er compliqué, sans doute le plus dangereux du lot avec une corne chercheuse et qui lui infligea une impressionnante voltereta ! De quoi refroidir les ardeurs de ce valeureux novillero… sans perdre les papiers, il ne fut pas convaincant tout en montrant les meilleures choses de la tarde sans doute.

 

                                                       Jorge RICO,

totalement inconnu que je découvrais… restera inédit avec une prestation qui laisse sceptique  quant à son devenir. Le superbe colorado sorti en 2 restera inédit hélas à la muleta !

Pas une passe quieto, en permanence sur le reculoir, sans aucun recours ! Il a erré dans ce ruedo  et a connu une vraie débâcle à l’épée et au descabello (3 avis au 5e) laissant aux aficionados présents une bien piètre image de la suerte de matar et le sentiment de malaise que cela engendre pour le néophyte !

 

                                                      El  Adoureño,

est aux portes de son alternative dacquoise…il revenait aussi de sa cornada toute récente reçue à Hagetmau ! Il inspire la sympathie, on sent son envie, son désir de triompher…mais vouloir n’est pas pouvoir ! J’aurai souhaité entrevoir chez lui plus de sérieux dans sa lidia, un toreo plus dominateur… ce ne fut pas le cas et ce n’est pas l’oreille cadeau à l’ultime qui masquera l’échec face à ce novillo le plus  complet ! À son crédit son enthousiasme communicatif, suerte

Au final le mayoral fut invité légitimement à saluer !  Les novilleros et leur entourage sans doute n’ont pas partagé cette vision des choses…

 

Aussi, c’est avec grand intérêt que je suivrais la corrida du jeudi 16 août à Tafalla ou les Toros de  AGUADULCE  seront à l’affiche ! Mais à 4 ans cette fois ci…     ( David Mora, Daniel Luque et Borja Jiménez).

 

 Laurent BERNEDE

4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois
4 et 5 Août, WE Parentissois

Voir les commentaires

RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.

Publié le par Cositas de toros

                                               DANS LA CHALEUR DE L’ÉTÉ.

 

 

 

        Nous avons pris le maquis, la clé des champs en Gascogne gersoise, pays charnel, sur les bords de l’Adour, loin de l’asphalte brûlant et du vacarme estival, de l’intelligentsia.

S’offrent du vrai, du pur, du traditionnel, du convivial chez les amis du Tendido Risclois : le goût véritable des retrouvailles.

RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.

      11H. A l’ombre des platanes. 1/3 d’arène.

NSP. 4 erales du Lartet, corrects de présentation, mobiles, du caractère.

 

                                          Valentin Hoyos Calama (Salamanque),

 

échangea des quites avec Nino Julián (vu à son avantage à Boujan). L’eral est noble permettant des séries des deux mains sans se croiser outre mesure. Bousculé à droite, désarmé à gauche. Entière caïda. Salut.

      Son second adversaire plus avisé cherche la cuisse ou le mollet. Entière dans la croix, décisive. Oreille.

 

                                                                     Nino,

 

le jeune Nîmois est applaudi à la cape. Deux paires de palos clouées avec détermination. Le début est bon puis la muleta est secouée, hachazos du cornu. Désarmé, le bicho a tout saisi. Entière de côté. Oreille.

      Le quatrième, le mieux armé répond très favorablement au capote. Belle suerte de banderilles, la troisième une por dentro. La faena débute à 100 km/h, attention, ici aussi c’est 80 !

Le Lartet "serre" de plus belle surtout sur la corne gauche. Entière copiée-collée de la précédente (à son premier bicho), abandonne le descabello et enfouit l’acier à l’identique ! Vuelta.

 

     Prix de l’ACOSO et du Tendido Risclois aux deux toreros en herbe.

RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.

 

18H. 1/2 arène. L’ombre prise d’assaut sous un air de rien.

RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.

 

Novillada de 6 Cuillé du Grand Badon à Salin de Giraud (origine : Juan Pedro Domecq par Miranda de Pericalvo). Lot bien présenté pour une arène de 3e catégorie. L’ensemble se montrant toutefois faible, médiocre sous l’unique rencontre équestre, aucune vraie pique mais exigeant. De la noblesse, rien que cela mais ils sont élevés dans ce but, et relativement mobiles.

 

Baptiste Cissé : silence et oreille.

Cristobal Reyes : silence, avis et vuelta, avis.   Blessure au scrotum à son second.

Dorian Canton : oreille et oreille.

El Santo a salué au 3e.

Salut inconsidéré du ganadero au centre du ruedo !

 

                                                            B. Cissé,

 

toujours à son avantage à la cape, élégant. Son premier est court de charges. Mort laborieuse.

Il débute par du rodéo, couché sur son second novillo. Un minable simulacre de pique. Brindis à Dorian. Une kyrielle de passes sur un sujet à l’arrêt. Une oreille qui ne s’imposait pas.

 

                                                   Cristobal Reyes,

 

se retrouva fort dépourvu devant un Cuillé au comportement tout d’abord bizarre à la cape. Brindis à Stéphane Fernandez Meca. Le novillo ne présente pas de difficultés particulières, la muleta est chahutée, voltereta. Terminaison par bernadinas et Cristobal est vigoureusement ébranlé. Vilaine épée, la bête meurt.

    Il hérite ensuite du "meilleur" du lot, discret sous la pique mais opportun à la muleta. Le jeune Andalou nous aligne de belles séries des deux mains par le bas avec une excellente main gauche. Mais la gourmandise du mort de faim lui fit trop allonger la faena et il fut pris sérieusement. On craignit le pire. Il revint rapidement pour régler son compte au bicho, courageusement. Vuelta fort méritée qui valut les oreilles précédentes et celle à venir.

 

                                                      Dorian Canton,

 

sort vainqueur de la tarde. Beaucoup d’entrega chez le Béarnais mais toujours la même faena répétée, inaugurée par des passes inversées au centre à la manière d’un contorsionniste. Pas élégant mais volontaire. Désarmés à deux reprises, il adresse une entière foudroyante.

La deuxième actuacion se déploya de manière quelconque. Devant les difficultés du bicho, Dorian livra des passes le retenant au centre mais le travail se gangrena par un nouveau désarmé. Trois tentatives à l’estoc. Dix mouchoirs agités et le pavillon tomba !

 

    L’affluence a perdu de sa superbe : la chaleur, les prix, le cartel ?

    Dans ces arènes de 3e catégorie, matinée et après-midi, la musique joue après le train d’arrastre, s’interrompt après un désarmé. N’est-ce pas Mont-de-Marsan, Orthez et consort ?

    10/10 pour le thon-pipérade sous les tilleuls et pour la performance des Armagnacs tout au long de la journée.

 

                                                                                                 Gilbert LAMARQUE

 

RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.
RISCLE. SAMEDI 4 AOUT.

Voir les commentaires